L'anecdote + Le visionnement
Il y a de ça quelques mois, je descends au sous-sol et j'me dis « Hey, The New York Ripper! Ça doit bien faire un bon 10 ans que j'ai pas vu ça. » Je mets la cassette dans le magnétoscope, j'éteins toutes les lumières, je m'installe avec mon lait au chocolat et j'appuie sur PLAY.
Bruit étrange, l'image prend du temps avant de kicker à l'écran,... FUCK!!!! J'ai compris une seconde trop tard. Je bondis du divan, appuie sur STOP, puis sur EJECT... rien à faire. Le ruban de la cassette est pogné ben dur dans le vidéo. Ah ben tabarnac.
Je viens de scrapper ma VHS originale de The New York Ripper, la cool édition d'Anchor Bay, celle avec le gros boîtier en plastique rouge!
Enragé, je sors le vidéo du meuble, débranche les fils RCA, arrache presque la plug du mur et me lance dans le garage avec le sacrament de sale.
Armé d'un tournevis étoile, j'ai envie de le poignarder à répétition, mais j'enlève plutôt le couvercle, déprends le ruban, réussis à extirper la cassette, réinsère le ruban du mieux que je peux dans le boîtier...
J'étais tellement en calisse! J'ai lancé le vidéo par terre, dans le garage toujours, sur le béton, près de la poubelle, prêt pour le truck à vidange du mardi. Je dois maintenant m'acheter un autre vidéo, j'ai encore trop de bonnes vieilles VHS à (re)visionner.
Criss de vidéo de marde. C'est pas comme si c'était la première fois que ça m'arrivait en 20 ans; c'est juste que ça fait plusse chier quand c'est un film original.
Maintenant, la tâche de me repogner un VHS s'annonce plus ardue que prévu;
Wal-Marde : magnétoscope gris d'une marque pourrite, 4 têtes, son mono,... MONO!
MONO!!!!!
Pourquoi pas la radio AM un coup parti? Un lecteur de 8-track? Une console Atari 2600 intégrée? Un gramophone?
Y'avait aussi, de la même marque de marde, un Vidéo/DVD... 2 appareils pour 1, certes, mais deux pourris? Wow, quel bon deal. Next.
Best Buy : uniquement VHS/DVD ensemble, meilleure marque, mais quelque chose comme 119 piasses. Euh, non. C'est pas les lecteurs DVD qui manquent dans la maison, j'en ai pas besoin d'un douzième.
Centre Hi-Fi : même chose qu'au Best Buy, mais avec des enregistreurs VHS/DVD en plus... (219 $, 329 $, etc.). Tu mets ta vieille VHS dans une fente, tu mets un DVD-R dans l'autre et tu copies ta cassette sur un disque. Pas pire, mais je veux garder mes vieilles VHS originales moi! Je veux pas recopier tous mes films en DVD-R. Du moins pas pour l'instant.
J'ai évidemment pensé au pawn shop, mais à quoi bon... 25 piasses pour un VHS qui a 14 ans de vie dans le corps, qui a enregistré 6 345 heures de téléromans à chier et qui a vu dérouler en lui 2 453 films loués? Euh, non. Aussi ben pitcher mon 25 piasses dans l'canal, juste en face de chez nous.
Hier, en allant souper chez mes beaux-parents, que ne vois-je pas sur la table de la salle à manger? Une télé avec un lecteur VHS intégré! Tsé, ce que tout le monde avait dans la cuisine, sur un p'tit meuble cheap en cartron, y'à de ça 15 ans? Une amie de ma belle-mère lui a fait ce cadeau. (?!?!)
À défaut de sauter de joie, j'ai sauté sur l'occasion. Allez hop, je lance l'antiquité dans ma voiture, direction : un certain sous-sol de Laval!
J'insère la cassette dans la fente, appuie sur PLAY, et... après quelques secondes de statique à l'écran, merci au ruban magané par mon esti de vidéo de marde, hourrah! Le film est intact. Moi qui suis habitué de regarder mes films sur une télé HD de 42 pouces, avec le son dans huit speakers disséminés un peu partout dans la pièce,... 'fallait me voir, installé sur le divan, cette petite télé sur une mini-table chancelante devant moi, même pas de télécommande (l'horreur! Je dois me lever, comme dans l'ancien temps! L'HORREUR!),... Étonnamment, l'image, ainsi que le son, sont vraiment top shape. Ne jamais sous-estimer Toshiba. C'est quand même pas une TV Le Choix du Président.
C'est ce qu'on appelle un setup à la bonne franquette
Bon dieu que mes murs sont drabes... ça manque cruellement de posters de Evil Dead
J'ai pris quelques notes pendant mon visionnement.
Compte rendu :
The New York Ripper
De Lucio Fulci - 1982
- Le film ouvre sur un vieux criss qui promène son chien sur le bord du fleuve Hudson; alors qu'il se penche, il dit, tout bonnement, comme ça, « Urgh, my balls. » [traduction libre : « Arg, mes couilles!, que je viens d'écrapoutre en me penchant... »] C'est tellement gratuit, c'est tellement n'importe quoi, que ça force le respect. Du grand Fulci.
- Le vieux lance un bâton, son chien le rapporte; le vieux relance le bâton, son chien le rerapporte; le vieux rerelance le bâton, son chien... ramène une main de femme, dans un état de putréfaction avancée, trouvée dans les buissons. Le vieux fait la même face que lorsqu'il s'est coincé les gosses, puis, gros plan sur la main dans la gueule du chien; arrêt sur image; générique. That's right. TOUT le générique défile sur l'image de la main dans la gueule du chien. Du grand Fulci.
- Une jeune femme en tenue affriolante se balade à vélo dans New York; avant d'embarquer sur le traversier, elle perd l'équilibre de façon totalement loufoque et non crédible et scrappe le côté passager d'une voiture arrêtée; le type pète les plombs et lui garroche :
« You women should stay home where you belong! You've got the brain of a chicken! »
[Traduction libre : « Ah, vous, les femmes,... vous devriez rester à la maison et ne jamais en sortir! Vous avez le cerveau d'une poule! »
Rien de moins.
- Les prises de vue du New York des années 80 sont excellentes : les rues, les voitures, le pont, le traversier, les peep shows, les cinémas,... la faune des années 80 dans toute sa splendeur. J'adore ces plans historiques de New York, façon Maniac, Basket Case, etc.
- Le premier meurtre du film, celui de la fille à vélo, est pas mal hardcore, quoique totalement raté avec ses effets cheaps. Mais ça demeure pas moins malsain à souhait [la fille se fait transpercer à répétition par une arme blanche, dans la voiture du type qui l'avait insulté avant d'embarquer à bord]. Quand vient le temps de descendre du traversier... la voiture, avec la fille morte à bord, ne bouge pas. Le gars derrière, dans son gros camion pickup, est tellement en tabarnac, qu'il rentre dans le cul de la voiture et la pousse violemment, dans le genre « AVANCE!, CALICE! » Ahahaah, trop bon. C'est tellement nowhere comme fin de scène! J'me pissais dessus.
- Fulci dans le rôle du chef de police! Ah ben sac à papier.
- Le tueur parle toujours avec une voix de canard, en personne comme au téléphone... genre Donald Duck... Freakant.
- Le psychologue de la police (un type fade, gay et barbu) passe tout le film à jouer aux échecs... seul! Contre l'ordinateur d'un vieux jeu électronique Radio Shack pourri. On se croirait en 1982... Oh, right,...
- Le lieutenant Fred Williams fume TOUT LE TEMPS, PARTOUT, TOUT LE TEMPS, ET PARTOUT. Aaaaaaaah, les années 80,... quand on fumait au bureau, à l'hôpital (!), à la bibliothèque, en cour devant le juge,... Il doit fumer à peu près 285 cigarettes pendant le film.
-Un homme et une femmesfourrent font l'amour sur un lit, devant une foule d'excités, genre au Cinéma l'Amour,... Je regarde la femme et je me dis : « Hey!, c'est pas Zora Kerova ça?? Madame "je suis une hostie de folle" dans Anthropophagus?». Fin de la performance, elle se couvre, s'engouffre dans sa loge. C'est bien elle! Ah ben baptême. Je savais pas qu'elle avait fait une telle scène de cul, full frontal and all. Panne d'électricité. Extrait de dialogue : « Joe? Joe? That fuckin' asshole idiot Joe! Damn it, Joe! Is that you? Joe?! Son of a bitch! Joe? Is that you?? ». Pendant deux minutes. Insupportable. Puis, elle se fait tuer. D'aplomb. ...à coups de bouteille de vodka cassée!!! Rien de moins.
- Le lieutenant Fred Williams couche avec une prostituée... c'est peut-être aussi sa blonde, ce n'est pas très clair. Le lieutenant, à sa pute : « Don't be a dumb bitch... » Ha ahahah! Du grand Fulci. J'me pissais dessus.
- Le lieutenant Fred Williams fume directement sous une affiche NO SMOKING. Tordant.
- Une femme qui traîne dans un bar louche se fait passer le doigt... pardon, des orteils, sous la table (!!).
Les orteils du type font connaissance avec la madame
L'ami du type, visiblement excité par toute l'affaire, l'encourage à aller toujours plusprofond loin
- Peu de temps après, la dame en question se fait tuer. D'aplomb. Elle se fait bousiller la gueule à coups de (scalpel??). Sick.
- À l'affiche d'un cinéma, au détour d'un plan rapide : An American Werewolf in London.
- La musique est pas mal poche... espèce de disco-jazz-fusion-moche... ouin.
- Le psychologue de la police (un type fade, gay et barbu) a un penchant pour les revues cochonnes avec photos d'hommes seulement... au détour d'un plan rapide, alors qu'il feuillète une revue avant de l'acheter, on voit un gros plan de pénétration anale. Du grand Fulci.
Le lieutenant Fred Williams et le psychologue de la police (un type fade, gay et barbu)
- Le psychologue de la police (un type fade, gay et barbu) est toujours accompagné de son genre d'assistante, une jeune noire qui ne sert ABSOLUMENT À RIEN... elle lui tend des rapports, attend que les résultats sortent d'un espèce de gros ordinateur poche des années 80 (oh, right,...), le suit un peu partout, ne dit jamais un mot,... TOTALEMENT INUTILE.
- Arrive enfin le super meurtre sordide tant attendu... une femme (la pute, également connue sous le nom de « peut-être la blonde du lieutenant Fred Williams ») se fait découper à coups de lame de rasoir... Le ventre... l'oeil (sacré Fulci)... les mamelons... le visage... Malaise. Sick.
- Le tueur est finalement mis hors d'état de nuire. Il se mange une balle en pleine face, dans la joue, une balle qui lui passe bord en bord de la tête. Ouache! Nice.
- La fin est super poche. Défaut de montage? Bobines mélangées? Mystère.
- Générique. J'apprends sur IMDb que Michele Soavi jouait le rôle (non crédité) d'un type qui achète un journal. Ah ben calisse. L'ai même pas spotté.
Il me reste encore quelques bonnes vieilles Anchor Bay à revoir (j'en ai vendu au fil des ans... oui, je sais, moi aussi je me trouve vraiment cave d'avoir fait ça) :
L'automne s'annonce « VHS ».
Il y a de ça quelques mois, je descends au sous-sol et j'me dis « Hey, The New York Ripper! Ça doit bien faire un bon 10 ans que j'ai pas vu ça. » Je mets la cassette dans le magnétoscope, j'éteins toutes les lumières, je m'installe avec mon lait au chocolat et j'appuie sur PLAY.
Bruit étrange, l'image prend du temps avant de kicker à l'écran,... FUCK!!!! J'ai compris une seconde trop tard. Je bondis du divan, appuie sur STOP, puis sur EJECT... rien à faire. Le ruban de la cassette est pogné ben dur dans le vidéo. Ah ben tabarnac.
Je viens de scrapper ma VHS originale de The New York Ripper, la cool édition d'Anchor Bay, celle avec le gros boîtier en plastique rouge!
Enragé, je sors le vidéo du meuble, débranche les fils RCA, arrache presque la plug du mur et me lance dans le garage avec le sacrament de sale.
Armé d'un tournevis étoile, j'ai envie de le poignarder à répétition, mais j'enlève plutôt le couvercle, déprends le ruban, réussis à extirper la cassette, réinsère le ruban du mieux que je peux dans le boîtier...
J'étais tellement en calisse! J'ai lancé le vidéo par terre, dans le garage toujours, sur le béton, près de la poubelle, prêt pour le truck à vidange du mardi. Je dois maintenant m'acheter un autre vidéo, j'ai encore trop de bonnes vieilles VHS à (re)visionner.
Criss de vidéo de marde. C'est pas comme si c'était la première fois que ça m'arrivait en 20 ans; c'est juste que ça fait plusse chier quand c'est un film original.
Maintenant, la tâche de me repogner un VHS s'annonce plus ardue que prévu;
Wal-Marde : magnétoscope gris d'une marque pourrite, 4 têtes, son mono,... MONO!
MONO!!!!!
Pourquoi pas la radio AM un coup parti? Un lecteur de 8-track? Une console Atari 2600 intégrée? Un gramophone?
Y'avait aussi, de la même marque de marde, un Vidéo/DVD... 2 appareils pour 1, certes, mais deux pourris? Wow, quel bon deal. Next.
Best Buy : uniquement VHS/DVD ensemble, meilleure marque, mais quelque chose comme 119 piasses. Euh, non. C'est pas les lecteurs DVD qui manquent dans la maison, j'en ai pas besoin d'un douzième.
Centre Hi-Fi : même chose qu'au Best Buy, mais avec des enregistreurs VHS/DVD en plus... (219 $, 329 $, etc.). Tu mets ta vieille VHS dans une fente, tu mets un DVD-R dans l'autre et tu copies ta cassette sur un disque. Pas pire, mais je veux garder mes vieilles VHS originales moi! Je veux pas recopier tous mes films en DVD-R. Du moins pas pour l'instant.
J'ai évidemment pensé au pawn shop, mais à quoi bon... 25 piasses pour un VHS qui a 14 ans de vie dans le corps, qui a enregistré 6 345 heures de téléromans à chier et qui a vu dérouler en lui 2 453 films loués? Euh, non. Aussi ben pitcher mon 25 piasses dans l'canal, juste en face de chez nous.
Hier, en allant souper chez mes beaux-parents, que ne vois-je pas sur la table de la salle à manger? Une télé avec un lecteur VHS intégré! Tsé, ce que tout le monde avait dans la cuisine, sur un p'tit meuble cheap en cartron, y'à de ça 15 ans? Une amie de ma belle-mère lui a fait ce cadeau. (?!?!)
À défaut de sauter de joie, j'ai sauté sur l'occasion. Allez hop, je lance l'antiquité dans ma voiture, direction : un certain sous-sol de Laval!
J'insère la cassette dans la fente, appuie sur PLAY, et... après quelques secondes de statique à l'écran, merci au ruban magané par mon esti de vidéo de marde, hourrah! Le film est intact. Moi qui suis habitué de regarder mes films sur une télé HD de 42 pouces, avec le son dans huit speakers disséminés un peu partout dans la pièce,... 'fallait me voir, installé sur le divan, cette petite télé sur une mini-table chancelante devant moi, même pas de télécommande (l'horreur! Je dois me lever, comme dans l'ancien temps! L'HORREUR!),... Étonnamment, l'image, ainsi que le son, sont vraiment top shape. Ne jamais sous-estimer Toshiba. C'est quand même pas une TV Le Choix du Président.
C'est ce qu'on appelle un setup à la bonne franquette
Bon dieu que mes murs sont drabes... ça manque cruellement de posters de Evil Dead
J'ai pris quelques notes pendant mon visionnement.
Compte rendu :
The New York Ripper
De Lucio Fulci - 1982
- Le film ouvre sur un vieux criss qui promène son chien sur le bord du fleuve Hudson; alors qu'il se penche, il dit, tout bonnement, comme ça, « Urgh, my balls. » [traduction libre : « Arg, mes couilles!, que je viens d'écrapoutre en me penchant... »] C'est tellement gratuit, c'est tellement n'importe quoi, que ça force le respect. Du grand Fulci.
- Le vieux lance un bâton, son chien le rapporte; le vieux relance le bâton, son chien le rerapporte; le vieux rerelance le bâton, son chien... ramène une main de femme, dans un état de putréfaction avancée, trouvée dans les buissons. Le vieux fait la même face que lorsqu'il s'est coincé les gosses, puis, gros plan sur la main dans la gueule du chien; arrêt sur image; générique. That's right. TOUT le générique défile sur l'image de la main dans la gueule du chien. Du grand Fulci.
- Une jeune femme en tenue affriolante se balade à vélo dans New York; avant d'embarquer sur le traversier, elle perd l'équilibre de façon totalement loufoque et non crédible et scrappe le côté passager d'une voiture arrêtée; le type pète les plombs et lui garroche :
« You women should stay home where you belong! You've got the brain of a chicken! »
[Traduction libre : « Ah, vous, les femmes,... vous devriez rester à la maison et ne jamais en sortir! Vous avez le cerveau d'une poule! »
Rien de moins.
- Les prises de vue du New York des années 80 sont excellentes : les rues, les voitures, le pont, le traversier, les peep shows, les cinémas,... la faune des années 80 dans toute sa splendeur. J'adore ces plans historiques de New York, façon Maniac, Basket Case, etc.
- Le premier meurtre du film, celui de la fille à vélo, est pas mal hardcore, quoique totalement raté avec ses effets cheaps. Mais ça demeure pas moins malsain à souhait [la fille se fait transpercer à répétition par une arme blanche, dans la voiture du type qui l'avait insulté avant d'embarquer à bord]. Quand vient le temps de descendre du traversier... la voiture, avec la fille morte à bord, ne bouge pas. Le gars derrière, dans son gros camion pickup, est tellement en tabarnac, qu'il rentre dans le cul de la voiture et la pousse violemment, dans le genre « AVANCE!, CALICE! » Ahahaah, trop bon. C'est tellement nowhere comme fin de scène! J'me pissais dessus.
- Fulci dans le rôle du chef de police! Ah ben sac à papier.
- Le tueur parle toujours avec une voix de canard, en personne comme au téléphone... genre Donald Duck... Freakant.
- Le psychologue de la police (un type fade, gay et barbu) passe tout le film à jouer aux échecs... seul! Contre l'ordinateur d'un vieux jeu électronique Radio Shack pourri. On se croirait en 1982... Oh, right,...
- Le lieutenant Fred Williams fume TOUT LE TEMPS, PARTOUT, TOUT LE TEMPS, ET PARTOUT. Aaaaaaaah, les années 80,... quand on fumait au bureau, à l'hôpital (!), à la bibliothèque, en cour devant le juge,... Il doit fumer à peu près 285 cigarettes pendant le film.
-Un homme et une femmes
- Le lieutenant Fred Williams couche avec une prostituée... c'est peut-être aussi sa blonde, ce n'est pas très clair. Le lieutenant, à sa pute : « Don't be a dumb bitch... » Ha ahahah! Du grand Fulci. J'me pissais dessus.
- Le lieutenant Fred Williams fume directement sous une affiche NO SMOKING. Tordant.
- Une femme qui traîne dans un bar louche se fait passer le doigt... pardon, des orteils, sous la table (!!).
Les orteils du type font connaissance avec la madame
L'ami du type, visiblement excité par toute l'affaire, l'encourage à aller toujours plus
- Peu de temps après, la dame en question se fait tuer. D'aplomb. Elle se fait bousiller la gueule à coups de (scalpel??). Sick.
- À l'affiche d'un cinéma, au détour d'un plan rapide : An American Werewolf in London.
- La musique est pas mal poche... espèce de disco-jazz-fusion-moche... ouin.
- Le psychologue de la police (un type fade, gay et barbu) a un penchant pour les revues cochonnes avec photos d'hommes seulement... au détour d'un plan rapide, alors qu'il feuillète une revue avant de l'acheter, on voit un gros plan de pénétration anale. Du grand Fulci.
Le lieutenant Fred Williams et le psychologue de la police (un type fade, gay et barbu)
- Le psychologue de la police (un type fade, gay et barbu) est toujours accompagné de son genre d'assistante, une jeune noire qui ne sert ABSOLUMENT À RIEN... elle lui tend des rapports, attend que les résultats sortent d'un espèce de gros ordinateur poche des années 80 (oh, right,...), le suit un peu partout, ne dit jamais un mot,... TOTALEMENT INUTILE.
- Arrive enfin le super meurtre sordide tant attendu... une femme (la pute, également connue sous le nom de « peut-être la blonde du lieutenant Fred Williams ») se fait découper à coups de lame de rasoir... Le ventre... l'oeil (sacré Fulci)... les mamelons... le visage... Malaise. Sick.
- Le tueur est finalement mis hors d'état de nuire. Il se mange une balle en pleine face, dans la joue, une balle qui lui passe bord en bord de la tête. Ouache! Nice.
- La fin est super poche. Défaut de montage? Bobines mélangées? Mystère.
- Générique. J'apprends sur IMDb que Michele Soavi jouait le rôle (non crédité) d'un type qui achète un journal. Ah ben calisse. L'ai même pas spotté.
Il me reste encore quelques bonnes vieilles Anchor Bay à revoir (j'en ai vendu au fil des ans... oui, je sais, moi aussi je me trouve vraiment cave d'avoir fait ça) :
L'automne s'annonce « VHS ».
2 commentaires:
Zora Kerova ? Full frontal pis toute ? T'as jamais vu TERREUR EXPRESS ? Un genre de LAST HOUSE ON THE LEFT sur un train ? Non, pas NIGHT TRAIN MURDERS, TERREUR EXPRESS !! Y a même Silvia Dionisio là-dedans ! Yeah !
Pis j'm'en rappelle pu ben ben, mais la Zora devait s'faire aller dans VIOLEZ LES OTAGES aussi. Quel beau titre magnifique et plein de compassion. On en fait pu des d'même.
Calisse, FIRST BLOOD en blu-ray, toé t'es t'un vrai ! Je l'ai aussi avec ROBOCOP, fuck oui.
LE MANOIR DE LA TERREUR tabarnac ! J'ai vendu le mien en beau épais ! Me suis rattrappé avec le DVD français pour la belle VF qui tue:
-Maman, ce chiffon a une odeur de mort !
-Mais non Michaaaeel, ce n'est qu'une guenille....
Une jouissance c'te film en VF.
Violez les otages!! Ouch, rien de moins. Quel titre les amis. Eh bien non, je n'ai vu aucun de ces films. Je suis très limité en films de Miss Kerova! C'est noté, toutefois.
First Blood forever! Fuck the World! Quel classique. Un grand film. RoboCop aussi, que j'ai d'ailleurs revu la semaine dernière, à Cinépop (et que j'ai j'ai bien évidemment en VHS, en DVD [Criterion Edition], etc.). C'était cool de le revoir en français. Me reste maintenant à revoir le 2 (pas si mal il me semble), et le 3 (minable, il me semble).
(On voit également sur cette photo : « La malédiction des Marnak », édition d'origine-vieille-VHS-pourrite! Un cadeau de nul autre que P.A.)
Et, man... Le manoir de la terreur... Ce film est troisième dans mon Top 3 à vie (je niaise même pas...) Je pourrais en parler pendant des heures. Une vraie passion. M'semble que j'ai déjà écrit un méga-billet sur Burial Ground, y'a de ça 2-3 ans...
Si tu voyais la différence entre ma vieille copie VHS washed out et ma copie du DVD (Shriek Show?), c'en est HALLUCINANT. Le DVD est quasiment TROP clair, on dirait que c'est pas le même film. Du coup, ça perd un peu de son charme, versus l'aspect glauque de l'image de la vieille VHS, et y'a pas le doublage français non plus,... :(
JAMAIS JE NE ME RÉPARTIRAI DE MON MANOIR DE LA TERREUR, JAMAIS! Même pas pour 200 piasses sur e-bay.
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