Henry 2, un ami qui ne vous veut pas du bien
C'est quoi?
Henry : Portrait of a Serial killer 2 - Mask of Sanity (1996)
Wow! Quelle magnifique pochette! NOT.
C'est de qui?
Chuck Parello (The Hillside Strangler, Ed Gein)
C'est comment?
C'est pourri. Dommage, car le premier est un véritable classique extrêmement solide, très bien filmé, bien produit, et Michael Rooker assure grave dans le rôle de Henry. Plus je pense au premier, et plus j'me dis qu'il mériterait sans doute sa place au soleil, dans mon Top 10. Mais cette suite inutile, dix ans plus tard,... quel torchon dull à chier. Un gâchis spectaculaire.
L'histoire?
Henry (campé par un autre acteur au « talent » incroyablement limité) poursuit son chemin sur les routes états-uniennes. Sans le sou, sans toit ni loi, il se trouve une job dans une entreprise miteuse spécialisée en location de ... toilettes portatives. Oui, les cabines vartes qu'on retrouve dans tout bon show extérieur. Deux de ses collègues de travail (mari et femme) acceptent de l'héberger dans leur maison, le temps qu'il se ramasse du fric. Il appert toutefois que l'hôte a également une job de nuit... il incendie des commerces, à contrat, genre pour les assurances. Il embarque rapidement notre Henry 2 (lol) dans ses magouilles. Mais vient ensuite le tour de notre Henry 2 d'embarquer son nouvel ami dans les siennes, c'est-à-dire : tuer des innocents. Oh, et y'a aussi la fille de la soeur de la femme du collègue (...) qui habite avec eux dans la maison, genre de fille instable, artiste à ses heures, troublée, qui finit par tomber amoureuse de notre Henry 2... tout cela va bien évidemment mal se terminer. Fin.
Henry 2 passe plus de la moitié du film à livrer des toilettes portatives. Du grand Art.
Appréciation additionnelle?
C'est vraiment mauvais. Pendant 1 h 30, on voit notre Henry 2 débarquer des toilettes vartes d'un trailer, les installer dans un parc, ou sinon, passer ses nuits à mettre le feu avec son complice, dans des restaurants, des ateliers de mode, des entrepôts, des usines désaffectées,... C'EEESST PLAAATE. zzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz. Assez ordinaire, pour un film censé nous montrer les frasques d'un TUEUR EN SÉRIE.
Et les acteurs/actrices, comment s'en sortent-ils?
Terriblement mal. Ils s'en sortent juste pas, en fait. On a ici affaire à un produit banal, très banal, et personne n'a l'air de vraiment y croire... Le pauvre Neil Giuntoli fait tout son possible pour ressembler à l'excellent Michael Rooker du premier, mais ça donne pas mal rien d'autre qu'un Epic FAIL... Mains constamment dans les poches de son jacket, regard menaçant à rabais, air grave risible, yeux méchants de pacotille, jamais de sourire... rien n'y fait. Une véritable caricature (ratée) sur deux pattes que notre pauvre Henry 2. Son collègue de travail pyromane est « un peu » mieux que lui (Rich Komenich), alors que la meilleure du film la femme de ce dernier, jouée par la belle Kate Walsh, qui connaîtra la gloire une décennie plus tard en jouant aux doctoresses dans Dre Grey. Parions qu'elle doit aujourd'hui essayer ben-ben fort de ne pas se souvenir qu'elle a joué un jour dans Henry 2.
Pis le sang, la violence, le gore, les meurtres pis toute?
Moche, moche, moche, moche et moche. Les pires chorégraphies de bagarres de toute l'Histoire du cinéma. Meurtres sans intérêt. Violence inexistante. Tension zéro. Un comble, vraiment, quand on pense à la réussite qu'est le premier.
L'ami de Henry est meilleur acteur que lui.
Est-ce tout de même à voir?
NON! Bien sûr que non. Revoyez encore et encore le premier à la place. Dites-vous que je me serai sacrifié pour vous en visionnant cette suite de marde. Le pire, c'est que la bande-annonce fait paraître le film presque pas si pire, puisqu'on y voit pratiquement tous les meurtres, ces meurtres poches qui occupent environ 4 minutes du film, qui dure 90 minutes, rappelons-le. Belle job de bande-annonce crosseuse. Ça fait au moins ça de réussi.
Bande-annonce : Cliquez ici
C'est quoi?
Henry : Portrait of a Serial killer 2 - Mask of Sanity (1996)
Wow! Quelle magnifique pochette! NOT.
C'est de qui?
Chuck Parello (The Hillside Strangler, Ed Gein)
C'est comment?
C'est pourri. Dommage, car le premier est un véritable classique extrêmement solide, très bien filmé, bien produit, et Michael Rooker assure grave dans le rôle de Henry. Plus je pense au premier, et plus j'me dis qu'il mériterait sans doute sa place au soleil, dans mon Top 10. Mais cette suite inutile, dix ans plus tard,... quel torchon dull à chier. Un gâchis spectaculaire.
L'histoire?
Henry (campé par un autre acteur au « talent » incroyablement limité) poursuit son chemin sur les routes états-uniennes. Sans le sou, sans toit ni loi, il se trouve une job dans une entreprise miteuse spécialisée en location de ... toilettes portatives. Oui, les cabines vartes qu'on retrouve dans tout bon show extérieur. Deux de ses collègues de travail (mari et femme) acceptent de l'héberger dans leur maison, le temps qu'il se ramasse du fric. Il appert toutefois que l'hôte a également une job de nuit... il incendie des commerces, à contrat, genre pour les assurances. Il embarque rapidement notre Henry 2 (lol) dans ses magouilles. Mais vient ensuite le tour de notre Henry 2 d'embarquer son nouvel ami dans les siennes, c'est-à-dire : tuer des innocents. Oh, et y'a aussi la fille de la soeur de la femme du collègue (...) qui habite avec eux dans la maison, genre de fille instable, artiste à ses heures, troublée, qui finit par tomber amoureuse de notre Henry 2... tout cela va bien évidemment mal se terminer. Fin.
Henry 2 passe plus de la moitié du film à livrer des toilettes portatives. Du grand Art.
Appréciation additionnelle?
C'est vraiment mauvais. Pendant 1 h 30, on voit notre Henry 2 débarquer des toilettes vartes d'un trailer, les installer dans un parc, ou sinon, passer ses nuits à mettre le feu avec son complice, dans des restaurants, des ateliers de mode, des entrepôts, des usines désaffectées,... C'EEESST PLAAATE. zzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz. Assez ordinaire, pour un film censé nous montrer les frasques d'un TUEUR EN SÉRIE.
Et les acteurs/actrices, comment s'en sortent-ils?
Terriblement mal. Ils s'en sortent juste pas, en fait. On a ici affaire à un produit banal, très banal, et personne n'a l'air de vraiment y croire... Le pauvre Neil Giuntoli fait tout son possible pour ressembler à l'excellent Michael Rooker du premier, mais ça donne pas mal rien d'autre qu'un Epic FAIL... Mains constamment dans les poches de son jacket, regard menaçant à rabais, air grave risible, yeux méchants de pacotille, jamais de sourire... rien n'y fait. Une véritable caricature (ratée) sur deux pattes que notre pauvre Henry 2. Son collègue de travail pyromane est « un peu » mieux que lui (Rich Komenich), alors que la meilleure du film la femme de ce dernier, jouée par la belle Kate Walsh, qui connaîtra la gloire une décennie plus tard en jouant aux doctoresses dans Dre Grey. Parions qu'elle doit aujourd'hui essayer ben-ben fort de ne pas se souvenir qu'elle a joué un jour dans Henry 2.
Pis le sang, la violence, le gore, les meurtres pis toute?
Moche, moche, moche, moche et moche. Les pires chorégraphies de bagarres de toute l'Histoire du cinéma. Meurtres sans intérêt. Violence inexistante. Tension zéro. Un comble, vraiment, quand on pense à la réussite qu'est le premier.
L'ami de Henry est meilleur acteur que lui.
Est-ce tout de même à voir?
NON! Bien sûr que non. Revoyez encore et encore le premier à la place. Dites-vous que je me serai sacrifié pour vous en visionnant cette suite de marde. Le pire, c'est que la bande-annonce fait paraître le film presque pas si pire, puisqu'on y voit pratiquement tous les meurtres, ces meurtres poches qui occupent environ 4 minutes du film, qui dure 90 minutes, rappelons-le. Belle job de bande-annonce crosseuse. Ça fait au moins ça de réussi.
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